Plus de 200 juridictions ont convenu d’un plan d’action visant à favoriser la mise en œuvre mondiale en temps opportun des normes du GAFI sur les actifs cryptographiques. Ce plan prévoit entre autres un respect plus strict de la « règle de voyage ». L’objectif de cette règle est de prévenir le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme en réglementant les mouvements de personnes et d’actifs à travers les frontières.
L’organisme de surveillance mondial constate que de nombreux pays ne mettent pas en œuvre les règles révisées sur les actifs cryptographiques
"Des délégués de plus de 200 juridictions du Réseau mondial ont participé" à un certain nombre de discussions à son siège à Paris, a indiqué le GAFI.
Des questions, notamment celles liées aux actifs cryptographiques, ont été discutées lors de la séance plénière du GAFI.
Depuis sa recommandation 15 renforcée en octobre 2018 pour les actifs cryptographiques et les fournisseurs de services cryptographiques, « de nombreux pays n’ont pas mis en œuvre ces exigences révisées ».
L’organisme mondial de surveillance de la lutte contre le blanchiment d’argent a noté que depuis sa recommandation 15 renforcée en octobre 2018 pour les actifs cryptographiques et les fournisseurs de services cryptographiques, « de nombreux pays n’ont pas mis en œuvre ces exigences révisées ».
Le Groupe d'action financière (GAFI), une organisation intergouvernementale créée pour lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, a annoncé vendredi les résultats de sa plénière qui s'est tenue du 22 au 24 février.
Le GAFI s’appuie sur un réseau mondial d’organismes régionaux de type GAFI (ORFS), en plus de ses propres membres, pour mettre en œuvre ses recommandations à l’échelle mondiale.
L'organisme de surveillance mondial, le Groupe d'action financière (GAFI), a publié un rapport indiquant que plus de 200 juridictions n'ont pas encore mis en œuvre les règles révisées sur les actifs cryptographiques établies par l'organisation. Bien qu’il s’agisse d’un pas dans la bonne direction, il reste encore beaucoup à faire pour surveiller et appliquer efficacement ces nouvelles réglementations.